Editorial_106

Sommaire

  • Assemblée générale
  • L’AIAT à Lisbonne
  • L’âne
  • Graissage d’un essieu patent
  • Histoire de l’équitation française
  • Les équipages de Napoléon III
  • En souvenir de Mia Allo
    et de Félix Sauvage
  • La Malle Poste
  • Calendrier

L’assemblée générale de décembre dernier a amené un changement de bureau.
ll est bon de rappeler que depuis sa création en 1973, l’AFA n’a connu que quatre présidents, Albert Drion, Raymond Camus puis Pierre de Chezelles et enfin Christian de Langlade qui après avoir été trésorier pendant de nombreuses années a tenu le poste de président pendant 10 ans. Avec son équipe, il a eu à cœur de continuer à développer l’AFA au travers de concours, rassemblements divers, stages… et nous l’en remercions. Christian de Langlade œuvre touiours pour l’attelage de tradition au niveau de l’AlAT qui a pour but de rassembler et de fédérer les différentes associations nationales sur les bases jetées depuis de nombreuses années par l’AFA « francaise ».
Fraîchement élu au poste de président, j’espére qu’avec notre nouvelle équipe, nous pourrons continuer a porter haut les couleurs de l’AFA. C’est cependant un travail que nous ne pouvons pas faire sans vous tous, les membres. Une association est une « auberge espagnole» dans laquelle on trouve ce qu’on est tous prêts à y apporter.
On vous attend pour participer aux concours et rallyes ou journées d’attelage de tradition.
On vous attend aussi pour faire connaître nos activités auprès de meneurs de votre région et les amener à l’AFA.
Enfin, on vous attend pour prendre une part active dans l’organisation de rassemblements d’attelage en adéquation avec les buts de notre association. Le comité et le bureau sont là pour vous conseiller et vous aider à monter les projets.
Notre AFA n’est pas seulement la pour mettre en place des concours, mais tout autant pour contribuer à entretenir et à perpétuer un savoir-faire traditionnel qui risque de disparaître avec notamment l’effacement des Haras Nationaux qui étaient porteurs et garants de certaines traditions jusque récemment.
Alors, en ce début d’année, préparons nos chevaux, poneys et ânes, sortons nos vénérables dames de leurs remises, faisons le maximum pour sauver de l’oubli ou de la destruction celles qui sont encore cachées ici ou là … et retrouvons-nous lors de nos manifestations qui nous donnent l’occasion de nous faire des amis et connaissances partageant les mêmes intérêts.

Eric Macrez

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